Selon la convention collective du portage salarial 3 critères définissent le salarié porté : l’expertise, la qualification et l’autonomie.
L’autonomie du salarié porté se traduit par son aptitude à démarcher les entreprises de son choix, définir ses prix et organiser librement son emploi du temps.
Concernant la qualification il doit disposer au minimum d’un diplôme de niveau III (BAC+2) ou d’une expérience d’au moins trois ans dans son secteur d’activité.
Enfin, il doit avoir une expertise particulière. Celle-ci est constituée d’un ensemble de compétences et de savoirs spécifiques dans son domaine, qui lui permettent de saisir une situation ou une opportunité professionnelle en vue de l’évaluation, de la préparation et de l’exécution du projet.
En clair, toute personne qui développe en toute autonomie une prestation de service qui a pour vocation le conseil et/ou la mise à disposition de compétences particulières, remplit les conditions légales pour être salarié porté.
Cela conduit à des profils très variés.
Le plus commun est celui du cadre de 40 à 55 ans spécialisé dans un secteur donné qui, séduit par les avantages du portage salarial décide de devenir indépendant. Il n’est pas rare que le portage salarial lui serve de tremplin pour se constituer une clientèle avant de créer son entreprise.
Il peut également s’agir d’un retraité qui souhaite un complément de rémunération, d’un porteur de projet qui cherche à tester son idée d’entreprise sans prendre de risque, d’un demandeur d’emploi qui veut se reconvertir, ou d’un ancien indépendant qui souhaite se délester des tâches administratives et obtenir une meilleure protection sociale.
Tous ces porteurs de projet ont en commun un désir d’indépendance et une expertise qui les rendent capable d’offrir des solutions adaptées et de fixer des prix en adéquation.
Dès lors que toutes ces conditions sont réunies vous pouvez être salarié porté.
Selon la convention collective du portage salarial 3 critères définissent le salarié porté : l’expertise, la qualification et l’autonomie.
L’autonomie du salarié porté se traduit par son aptitude à démarcher les entreprises de son choix, définir ses prix et organiser librement son emploi du temps.
Concernant la qualification il doit disposer au minimum d’un diplôme de niveau III (BAC+2) ou d’une expérience d’au moins trois ans dans son secteur d’activité.
Enfin, il doit avoir une expertise particulière. Celle-ci est constituée d’un ensemble de compétences et de savoirs spécifiques dans son domaine, qui lui permettent de saisir une situation ou une opportunité professionnelle en vue de l’évaluation, de la préparation et de l’exécution du projet.
En clair, toute personne qui développe en toute autonomie une prestation de service qui a pour vocation le conseil et/ou la mise à disposition de compétences particulières, remplit les conditions légales pour être salarié porté.
Cela conduit à des profils très variés.
Le plus commun est celui du cadre de 40 à 55 ans spécialisé dans un secteur donné qui, séduit par les avantages du portage salarial décide de devenir indépendant. Il n’est pas rare que le portage salarial lui serve de tremplin pour se constituer une clientèle avant de créer son entreprise.
Il peut également s’agir d’un retraité qui souhaite un complément de rémunération, d’un porteur de projet qui cherche à tester son idée d’entreprise sans prendre de risque, d’un demandeur d’emploi qui veut se reconvertir, ou d’un ancien indépendant qui souhaite se délester des tâches administratives et obtenir une meilleure protection sociale.
Tous ces porteurs de projet ont en commun un désir d’indépendance et une expertise qui les rendent capable d’offrir des solutions adaptées et de fixer des prix en adéquation.
Dès lors que toutes ces conditions sont réunies vous pouvez être salarié porté.
Quelles sont les activités exercées par le salarié porté ?
Selon la loi, le salarié porté doit limiter son activité aux prestations de service.
Le plus souvent, il réalise des missions de conseil aux entreprises, de formation, de management de transition, de développement informatique ou tout autre mission qui n’entre pas en violation avec la loi ou les spécificités de la société de portage salarial choisie.
Il intervient traditionnellement dans les secteurs suivants (cette liste est non exhaustive) :
- L’informatique (systèmes d’information, sécurité, webmaster)
- Le design, le marketing, la communication, la rédaction, la traduction,
- La gestion de projet, l’audit d’entreprise,
- Le développement durable, l’environnement, l’agroalimentaire,
- Les ressources humaines, le management de transition,
- La formation en entreprise, le coaching,
- L’assistance à maîtrise d’ouvrage,
- La finance, la gestion de patrimoine
Plusieurs activités sont exclues du portage salarial.
Il s’agit des prestations de service à la personne telles que le jardinage et le gardiennage d’enfants ou encore les professions réglementées comme les avocats, les experts-comptables ou les médecins.
Enfin, ce sont plus généralement toutes les activités commerciales n’entrant pas dans la catégorie des « métiers intellectuels » qui sont exclus du dispositif.